vendredi 30 décembre 2011

Merry Christmas And Happy New Year




Le moment est venu, en ces périodes de fêtes, de vous redonner de mes nouvelles. Quand même!!

Another day in paradise!!


Le proverbe « pas de nouvelles, bonnes nouvelles » pourrait tout à fait s'appliquer à mon absence de signe de vie durant près d'un mois. Pour les anxieux, je suis vivant. Pour les autres, je vais bien.
Je vis ce que j'étais venu chercher. Un quotidien. Je ne souhaitais pas de routine et de rythme plan-plan attention, juste avoir un quotidien néo-zélandais pour apprendre réellement la culture du pays. J'ai trouvé! Et vous savez quoi?? En mieux!!
Bon, alors oui, le travail n'est pas très intéressant mais il permet de voir des gens en dehors après.
Voici, en quelques mots, ce qu'il m'est arrivé. Les photos prendront le relais pour un patchwork visuel plus rapide à intégrer pour vos cerveaux ralentis par le froid hivernal. Ah oui, j'oubliais! Il fait 25° et la mer est... bonne!
A la Martine, ok?!

Maxime fait du cheval
Maxime commence à bien parler anglais
Maxime pêche en mer
Maxime à la parade de Noël
Maxime cuisine des spécialités françaises
Maxime tire à l'arc
Maxime fait de la moto
Maxime achète un 4*4 et construit un lit dedans
Maxime fait la fête
Maxime passe Noël en chemisette
Maxime va passer le jour de l'An en maillot de bains
Maxime joue au football
Maxime en prend plein la g... avec les All Blacks et leur victoire en coupe du monde
(Maxime se verrait bien rester...)

Les photos arrivent...



La poursuite de mon séjour est désormais lié à l'arrivée de mon cadeau de Noël (Olivia!!) donc je reprends la route la deuxième semaine de Janvier direction l'île du Sud. Je reprendrais un rythme normal pour vous faire parvenir les photos.




J'en profite pour vous souhaiter à tous de très bonnes fêtes de fin d'année (vos panses n'ont qu'à bien se tenir) et mes meilleurs voeux pour l'année à suivre. Mes voeux sont tous envoyés en recommandé depuis la plage où le soleil les réchauffent comme il se doit pour vous.

Des bisous.

            




Sky Tower in Auckland

Les starfish sont partout!



Petit rugby sur la plage le jour de Noel



dimanche 13 novembre 2011

JAWS!

A défaut d'un film un peu lourd à uploader, voici quelques instants magiques. Ceux ci ont été pris alors que je m'échappais d'une machoire d'un grand requin blanc...
Le ridicule ne tue pas. Profitez!











Spielberg ayant fini Tintin, vous croyez que je peux lui demander de refaire un "Dents de la Mer" avec moi??

Little Paradise

Un poil muet depuis la dernière fois... Vous devinez pourquoi?? Allez un petit effort... Bon, voilà, on a un temps magnifique qui nous impose donc beaucoup de travail. Et oui, pour des questions de normes et de praticité, la cueillette des avocats est suspendue dès qu'il pleut. Cette semaine, j'ai donc fait 7h30 - 20h, tous les jours...
C'est quelque peu décourageant parfois car le soleil est bien là mais je ne peux pas en profiter. Enfin pas dans l'immédiat.


Le week end fait du bien. Dodo, repas correct et puis plage. Oui, ici, c'est le début de l'été. Pendant que vous accumulez les couches pour vous maintenir au chaud, moi, j'allège considérablement ma charge vestimentaire. Je me conduis en parfait néo-zélandais: les courses c'est pieds nus, bermuda-débardeur. On est tous pieds nus sur les trottoirs, les boutiques, la banque,... C'est dépaysant!
Je me suis installé par chance près d'un coin réputé pour ses vagues (des petites grandes, parfaites pour le débrouillé que je suis). La location d'un surf est de 15$ pour la journée. Autrement dit rien. Mes prochains day off vont se dérouler dans l'eau, sur l'eau dans l'idéal ;)


Aujourd'hui, ça a été re découverte de Waihi Beach en compagnie d'un pote du boulot, Tyla (diminutif de Taylor). Une plage énorme, un temps magnifique, une eau fraîche, revigorante, un petit moment de paradis dans cette semaine de fou.

Les prochaines s'annoncent un peu moins denses. Peut être vais je craquer pour l'achat d'une planche.
Au fait, en rapport à mon dernier post, je me suis vu offrir l'ancienne série de clubs de golfs d'un collègue ainsi qu'un sac de golf. A défaut d'être le prochain Israel Dagg (fullback=arrière des All Blacks), je serai peut être le futur Tiger Woods... 

En attendant le rugby, je prends tout ce qu'on me donne!!




En direct de la vague!

mercredi 2 novembre 2011

Vous avez dit coïncidence??



A la fin d'un samedi bien rempli par le travail, Dany m'a invité à partager un moment en compagnie de sa famille et de sa belle-famille. Quentin et Brynn, ses deux enfants de six et huit ans, m'ont accueilli comme il se devait par quelques passes de rugby et m'ont montré, très fiers, leurs vélos reluisant de gadoue. Arrivé sur les coups de 18h, nous avons eu le temps de marcher un peu dans sa propriété, d'admirer le paysage du haut d'une colline dominant la baie et de partager nos expériences de voyage.
Dany est un sud-africain marié à une néo-zélandaise rencontré en Angleterre. L'itinéraire d'un couple de voyageurs en quelque sorte. Ils ont fait toute l'Europe de bout en bout en huit mois il y a une quinzaine d'années.
J'étais un peu l'attraction de la soirée. Les enfants me demandant toutes les deux secondes la traduction de certains mots anglais. Les parents de sa femme me questionnant sur l'histoire de l'Europe. Ce fut un moment très Kiwi et comme je suis là pour ce genre de choses, j'ai savouré du début à la fin ces marques de gentillesse et de curiosité portées à mon égard.
Au lendemain de ce dîner et de cette nuit dans cette grande maison néo zélandaise, j'ai, presque malgré moi, joué au golf .  John, un autre collègue, m'a inscrit à un tournoi de golf ce dimanche, il me l'a annoncé samedi après midi, juste en quittant le travail... Nous avions parlé golf une ou deux fois durant une pause et je lui avais confié qu'une fois par semaine je tapais quelques balles au golf de Kati Kati.
9h30, me voilà face à la balle au départ du trou numéro 1, qu'est ce que je fous là!! S'est ensuivi un beau parcours très britannique; aire de départ immense, green du 18 à cinq mètres du club house; sur lequel j'ai brillé par mon irrégularité et mon sens de l'humour dixit mes compagnons de jeu...
Un moment très agréable qui s'est soldé par une... victoire dans la catégorie sans handicap! Bon, facile on était trois ;) "Lucky Frenchy!" Réception, rencontre du coach de rugby de Kati Kati (il était de ma partie depuis le matin!) et d'un sponsor, billards. Une journée de rêve. Encore.
Ils ont besoin d'un fullback ici et le sponsor m'a dit que si j'étais dans le coin en février j'étais plus que bienvenu avec un métier à la clé. On en discute samedi en pêchant sur son bateau. Excusez ;)

lundi 31 octobre 2011

Un peu d'Irlande à Kati Kati

Ce vendredi dans le cadre du festival de musique de Tauranga, j'ai eu la chance d'assister à un concert de musique traditionnelle irlandaise. Pauline Scanlon a enchanté les personnes présentes par sa voix puissante et génératrice d'émotions. Accompagnée d'un guitariste, d'un contre bassiste et d'un accordéoniste, je me trouvais durant deux heures comme en Irlande. Quelques irlandais du coin se sont improvisés danseurs celtiques et ont ajouté un grain de folie à ce spectacle.
Anecdote du week end, en attendant la suite... La Nouvelle Zélande est un pays dans lequel réside seulement 4,5 millions d'habitants. J'ai pu en faire l'expérience en rencontrant la cousine germaine de Tony Marsh... Quelle coïncidence!! Celle-ci m'a expliqué quelque peu la vie de son cousin néo zélandais international français. Ce fut très chouette.
Une rencontre comme il n'en existe qu'en Nouvelle Zélande. Et oui, ça n'est pas tous les jours, en France, que l'on se fait alpaguer par la moitié des gens que l'on croise pour se faire demander d'où l'on vient, si on se plaît ici, ce qui nous passionne, si... bref... J'ai dû encore faire trois quatre interviews ce vendredi soir ;) Ce qui n'est pas pour me déplaire.
Une petite vidéo trouvée sur Internet pour vous faire partager ça, même si ça ne reflète pas le côté intimiste du concert auquel j'ai assisté.


jeudi 27 octobre 2011

Grandiose...

Avant de commencer ce post, je tiens à vous signaler qu'il a fallu que j'attende un bon petit moment avant de me me mettre devant l'ordinateur. En effet, les heures de travail sont telles qu'elles ne laissent place qu'à la douche, la mangeaille et LE dodo. La semaine dernière, nous avons fait 52 heures en 5 jours. Et cette semaine se poursuit sur les mêmes bases... Mais attention, pas de plaintes ni de lamentations dans mes propos, juste de l'information...


La fatigue est d'autant plus difficile à gérer cette semaine car le week end de la finale est passée par là.
Au début, je me demandai comment je pourrais vous retranscrire ce que j'ai ressenti avant, pendant et après cet événement. Je me le demande encore. Alors oui, vous aurez des mots sur ce rugby que nous avons produit, sur tous ces gens que nous avons croisé, sur ces All Blacks qui sont désormais l'égal des Dieux, sur cette pression durant les dernières minutes, sur cette explosion (pas d'autres mots!!) de joie, de soulagement au coup de sifflet final.
Des anecdotes, voilà ce que vous aurez car il faut encore que je mûrisse cette expérience pour pouvoir la restranscrire, qui plus est, à un clavier avant vous, en vrai.



Bref. Deux maillots bleus se balladant sur Queen Street (les Champs Elysées locaux) à six heures du coup d'envoi. Bin les rues étaient déjà pleines. On aurait dit un enterrement. Tout le monde en noir. Mais des sourires sur tous les visages. Des attitudes qui ne trompent pas sur cette attente qui prendra fin d'ici à quelques heures. Des motos défilent au milieu de la foule. Des animations garnissent un peu plus l'espace. La rue est fermée mais déjà l'on s'y sent à l'étroit. Chaque personne croisée vous lance un regard plein de défi, vous jette un "Go All Blacks" à la figure. La frénésie s'empare de chacun chaque seconde qui nous rapproche du match. On croise quelques français, perdus, comme nous. On cherche quelque réconfort à oser un "Allez les Bleus!". Aussitôt des têtes se tournent.
Aucun geste agressif, aucune attitude déplacée.

Les photos, les poignées de main, les embrassades prennent place spontanément dans ce cortège rugbystique. Les ballons volent, les drapeaux flottent. Déjà des maillots s'échangent.
Le temps passe... Lentement...
Et puis, vint ce moment. Assis devant un écran géant sur les hauteurs de Queen Street (les 3 fan zones étant full depuis longtemps), entourés d'une immensité noire, nous y voilà. Les immeubles sont pris d'assaut, les arbres aussi. Pas un centimètre carré de libre sur une bonne distance. Tout le monde retient son souffle. Les images arrivent. Quelques cris éclatent.

Les hymnes suivis du haka sont un moment très très fort. La Marseillaise à peut être dix personnes maximum sonne un peu vide au milieu de tout cela. God defend New Zealand est repris par tout un peuple, toute une nation. Beaucoup de coeur et d'intensité durant ce Haka. Quoiqu'un peu défraîchi devant l'audace et ce nouveau challenge que nous proposent nos joueurs. Quelle folie! Quelle aventure! Quelle ...
Ca y est, je commence à ne plus savoir quoi dire. A ne plus trouver les bons mots. A me répéter...

Cétait magique. Ce match si serré enlevé d'un pouce de pied par un All Black qui pêchait dans la Waikato River en début de Mondial. Cet essai rageur de notre capitaine héroïque. Ce silence impressionnant après celui-ci. Et cette libération à quatre minutes de la fin du match. Et cette possession qu'ils font durer comme pour nous narguer.
Je lève les yeux au ciel. Mes mains se joignent sur le sommet de mon crâne presque mécaniquement. Mon regard est fixé sur l'écran. Ma vision périphérique me permet de déguster à petite dose l'ivresse qui habite maintenant tous ces gens. Je prends le temps de faire le point, ici, maintenant. Ca fait presque deux mois que je suis ici. Malgré ma déception d'avoir vu les Français laisser échapper ce Graal encore une fois, je ne suis pas malheureux. Non. Je pense à ce que je suis entrain de vivre. Je profite de ce moment. Je m'imprègne des sons, des gens autour, de ce sentiment de joie qui transpire de chacun d'eux. Ces sourires, ces embrassades, ces cris. Au même titre que ces gens qui captent ces instants magiques grâce à leurs appareils photos et leurs caméras, je tente de capturer chaque onde qui passe. Bientôt, je me perdrai au milieu de ces gens, je discuterai du match, on nous prendra encore plus en photos, on nous chambrera davantage. Mais là, non. Arrêt sur image.

Voilà, qui est fait. La descente de la rue principale d'Auckland s'est faite tout doucement, répondant aux nombreuses sollicitations dont nous avons fait preuve de la part de gens heureux, de gens "pompètes", d'ivrognes, de jeunes, de maoris, de vieux, de grands, de tous ces néo-zélandais chavirant pour ce sacre mondial qui au vu de l'ensemble du tournoi est amplement mérité.

              

La nuit a été courte...



Retour à North Harbour, lieu de la maison de l'amie du collègue du boulot, à 6h. Short sleep...
Je laisse Benoît à la maison et reprends vers 11h le chemin de la maison.
Quelle expérience!!
Il y a des instants dont on se souvient toute une vie. Ce voyage en fera partie. Ce moment y sera pour beaucoup.



samedi 22 octobre 2011

Ze Dream...

Bon, alors voilà, c'est l'histoire d'un mec. Il décide de faire un voyage dans un pays à l'autre bout de la Terre. Ce voyage coïncide, par hasard, avec un événement très important dans un domaine qu'il affectionne tout particulièrement. Cet événement prend fin par une confrontation particulière. Pays hôte dans lequel ce mec fait son voyage. Pays de coeur, en l'occurence, le sien. Bah il est pour qui alors le mec?

Sentiments mitigés à l'orée de cette finale particulière. Le XV de France que je soutiens depuis le début malgré sa marque de fabrique digne du rugby anglais des années 80 et le XV à la fougère argentée, véritable religion de tout un pays au jeu fluide et attrayant, se rencontrent une deuxième fois pour un titre mondial plus que prisé. Mon coeur chavire. Et pour cause...

Si la Nouvelle-Zélande gagne, la fête sera énorme, l'ambiance et les gens davantage formidables, un effet d'apaisement se fera sentir pour ce pays qui mine de rien n'a gagné qu'une coupe du monde. Mais je vous raconte pas les moqueries au retour au boulot.
Si la France gagne, la fête sera énorme (pour nous), l'ambiance et les gens un peu moins formidables ;), le fait de pouvoir à chaque conversation placer "I am from France, you know, the new world cup champions!!" et enfin une coupe du monde dans la musette.

Le compte à rebours est, quoiqu'il en soit, lancé. Tout le monde ne parle que de ça. Il n'y a pas cinq minutes de conversation qui ne tournent pas à la future confrontation des bleus contre les blacks. Et on en rajoute à chaque fois.
Un camion porte contener vient chercher sa marchandise. Sur son pare chocs arrière trône une petite phrase genre "Go the All Blacks!" et bah je me sens obligé d'aller marquer, à la craie bien entendu, "Go France!", en gros. juste à côté. Idem sur le tableau velleda de la salle de pause. Et je ne vous raconte pas tout ce que l'on peut entendre sur nos Frenchies et nos visages plein de larmes dimanche soir...

Malgré cette douce animosité naissante, cela n'entâche en rien l'hospitalité et le coeur gros comme ça de nos hôtes. Benoît et une collègue nz quittent le travail ce week end, Benoît pour retrouver sa belle la semaine prochaine sur Auckland, et Jo-Anne pour un autre emploi. Ce fut donc en bonne compagnie, autour de quelques verres et d'un billard dans un club de Kati Kati que nous nous sommes retrouvés pour un très bon et chaleureux moment. Dany, un collègue, nous demanda alors quels étaient nos plans pour la finale. Voyage jusqu'à Auckland, posage du van, visionnage du match à la Fan Zone, consolation de nombreux supporters Blacks ;), nuit dans le van et retour pour moi le lundi.

"What?! Vous n'allez pas encore dormir dans le van, surtout pas après la finale!"
"Ah bah si, on l'a déjà fait, t'inquiètes"
"Demain, je donne un coup de fil, vous dormirez mieux. C'est à deux pas du centre ville, les bus sont gratuits, vous aurez beaucoup de place, c'est une grande maison, ma pote est super sympa,..."
"Euh... Ok!"
Voilà, un exemple parmi d'autres de la gentillesse qui habite les gens ici. Pas de préjugés juste une amicale spontanéité pour te mettre à l'aise. Juste comme ça.
"C'est pas pour ça qu'on te laissera gagner dimanche Dany, tu sais?!" Et c'est reparti... 
Nous voilà fin prêts pour une nouvelle aventure qui fout le palpitant à 10000.


Autre nouvelle. Je me mets au Cricket mercredi soir prochain. En attendant le rugby, qui dit mieux?? ;)

mardi 18 octobre 2011

OUFF!!!

J'ai montré le chemin pour la finale ;)


Aucun commentaire sur le match, si ce n'est que les Gallois n'ont pas voulu jouer de finale de coupe du monde... Pas faute d'avoir fait des cadeaux.
Bref, on y est et on savoure. Malgré les commentaires incessants des collègues sur notre non-jeu (chicken scared!) et les railleries de la presse internationale, le XV de France est en finale de coupe du monde. Qui l'eut crû?



Le match a donné lieu à un mélange de films d'horreur à l'américaine qui se termine bien avec un second rôle qui prendrait la place du premier. Heureusement, le Strand, la place où faire la fête sur Tauranga a aidé à faire passer la pilule ;) et de belle manière.


Quand je vous disais que c'était la jungle ici!


Durant la journée, nous avons fait une ballade de 4h dans les montagnes derrière la maison. Traversées de rivières, escalade de racines, chemins boueux, pluie, soleil, arcs en ciel... Ce rendez vous avec la nature a été plus que parfait pour préparer l'âpre et étoufffant match du soir. Quelques photos.


Je ne les présente plus ces paysages... So Beautiful! 




dimanche 16 octobre 2011

Volunteers



Nous nous sommes inscrits comme volontaires pour participer au nettoyage des plages de Mont Manganui près de Tauranga. Des galettes de pétrole souillent celles-ci et, aux dernières nouvelles, ça n'est pas prêt de s'arrêter car le bateau commence à se scinder en deux...
Triste de voir ce petit paradis pour surfeurs et amoureux de la nature en danger.






Les bateaux continuent de se rendre au port de Tauranga





samedi 15 octobre 2011

Haka

Petit moment de détente avant de trembler pendant les demies finales!!
A dégustez sans modération ;)

mardi 11 octobre 2011

Carto(o)n Rouge

J'ai trouvé ça sympa, dans le journal du coin...



Moins sympa en revanche, dans ce même journal, les nouvelles du Rena, le super tanker, échoué sur les récifs près de Tauranga. Un premier réservoir est percé et déverse sa m... dans un site réputé pour sa faune et sa flore marine.
Un ministre néo zélandais qualifie cette marée noire comme l'une des pires catastrophes écologiques du pays. Et le temps n'est pas un allié précieux, loin de là. Les vents sont violents et la pluie incessante.
Peut être répondrons nous présents à l'appel aux volontaires pour commencer à nettoyer les plages? Le temps n'est pas propice à la cueillette d'avocats vous l'aurez deviné donc nous utiliserons le notre pour une bonne cause...

dimanche 9 octobre 2011

Sondage

En pleine préparation d'élection en France (primaires socialistes et prochainement présidentielles), je me suis mis à la mode du sondage. Un petit clic qui ne fait pas perdre de temps pour savoir ce que vous pensez en France...

Wales Fiji

Comme dit précédemment, on s'attendait à un gros match (plus de 30 points de chaque côté lors de la dernière coupe du monde). C'en fut un... Mais à sens unique. Les gallois ont déroulé comme pour mieux préparer ce quart de finale qu'ils allaient enlever une semaine plus tard. Confiants, sûrs d'eux, ils ne se sont pas affolés comme à la dernière coupe du monde. Plaisant à voir même sous la pluie d'Hamilton.


Waikato Stadium, le stade des Chiefs en Super XV


Les supporters gallois ont un très bon esprit et c'est avec une marée rouge de très bonne humeur ;) que nous avons assisté au Ireland Italy du dimanche soir. Très belle victoire des irlandais qui ne s'attendaient pas à ce que ce soit la dernière...


Ce guitariste a fait un essai pour jouer en même temps que le match. Les sifflets qui ont alors retenti ont été à la hauteur de sa prestation à la mi temps. Si vous voyez ce que je veux dire.


Samoa Fidji






Un stade bondé, une ambiance de folie, deux hakas plein de défis, des joueurs costauds, une bonne recette pour passer un bon moment. Mais, le jeu ne fut pas au rendez vous car la pluie s'est invitée sans prévenir faisant de ce choc, entre deux nations qui envoient du jeu, un feu d'artifice quelque peu mouillé...
Une déception pour des fidjiens méconnaissables par rapport en 2007. Souvenez vous de Wales Fidji à Nantes, si mes souvenirs sont bons.


En revanche, des samoans toujours plus conquérants s'appuyant sur un demi d'ouverture efficace dans la gestion du jeu et un arrière sûr (précision pour les fans, il a signé au Stade Français). Sans oublier ce flanker chevelu affamé sur chaque phase de jeu.


Ils ont gagné ce jour et auraient mérité la victoire face à l'Afrique du Sud quelques jours plus tard lors d'un match qui restera un des plus beaux de la compétition.